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19 décembre 2011 1 19 /12 /décembre /2011 22:44

AllumetteCette campagne électorale préparatoire aux élections, la présidentielle et les  législatives, devrait être l’occasion d’un débat politique de haute tenue et de haut niveau. C’est la situation gravissime du pays, de l’Europe et de la planète qui l’impose. Les forces politiques, les candidats devraient se saisir de l’occasion pour de vraies confrontations d’options et de sens, en y associant le maximum de citoyennes et de citoyens. Ce n’est pas ce qui se passe ! Ici, un ministre en est à demander le retour de l’uniforme à l’école. Là, un autre vient de mettre à jour une autre trouvaille : supprimer le mot « mademoiselle » sur les documents administratifs.

C’est pitoyable ! Le pouvoir de droite tente de diviser, de dresser ceux qui n’ont rien contre ceux qui n’ont pas grand-chose pour préserver le grand capital. Il crée un contexte explosif, si la gauche ne se porte pas à la hauteur des enjeux en cours. Elle doit le faire en osmose avec toutes celles et ceux – et ils sont majoritaires – qui aspirent et recherchent autre chose. Malheureusement, elle en est loin. À continuer ainsi, elle donne de la vigueur, par défaut, à la droite qui est pourtant largement rejetée. On ne peut qu’être inquiet de tels développements s’ils devaient se poursuivre car, dans une telle crise, ils ouvriraient la voie à la progression de l’extrême droite présentée comme force d’opposition. Par ricochet, une telle menace favoriserait le vote utile et affaiblirait la gauche de transformation sociale essentiellement portée par le Front de Gauche et les candidats communistes aux législatives. Ce débat est indispensable, nécessaire. Une victoire de la gauche se traduisant par une austérité de gauche remplaçant une purge de droite, serait dramatique. On voit ce que cela a donné en Espagne.

Ce débat nécessaire n’a pas pour objectif d’attaquer  le candidat socialiste. Il vise au contraire à créer les conditions d’une large victoire de la gauche parce que mieux porteuse des attentes populaires et des exigences qu’expriment les organisations syndicales et le monde associatif dans leur diversité. C’est le seul moyen pour une gauche authentique d’être, dans son pluralisme, plus unie, plus forte face à la droite, l’extrême droite, le grand patronat, l’Europe ultralibérale et les marchés financiers.

Changer implique forcément un autre mode de discussions et peut-être des affrontements au sein de l’Union européenne pour une renégociation du traité de Lisbonne en faisant appel aux peuples européens. Les batailles de la gauche devront porter sur le changement des missions et des orientations de la Banque centrale européenne, sans quoi il ne se passera pas grand-chose de positif pour les familles populaires. L’enjeu fondamental n’est pas de « donner un sens à la rigueur » comme le dit F. Hollande, ni d’en rabaisser sur le niveau des solutions nécessaires à gauche. Au contraire !

C’est à partir d’un haut niveau de solutions qu’on empêchera l’austérité, la récession qu’elle alimente et qu’on sortira de la crise actuelle

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19 décembre 2011 1 19 /12 /décembre /2011 22:41

ManifLes plans d’austérité à répétition, décidés par le gouvernement, aggravent considérablement les conditions de vie des français. Refusant de courber l’échine, les organisations syndicales ont décidé de riposter. La CGT, CFDT, FSU, UNSA et Solidaires lancent un appel pour un rassemblement de lutte :

Mardi 13 décembre

à partir de 12 h 00

                    Square de la gare

                           à Charleville Mézières

 

        Décidés à en découdre, les syndicats veulent un large rassemblement afin de mettre en échec la  nouvelle phase de dérèglementation sociale qui est à l’ordre du jour en France et en Europe.

 

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19 décembre 2011 1 19 /12 /décembre /2011 22:38

 Euro brule

18,6 % d’inflation depuis 2002

Le constat

 

Les critiques émises par le PCF sur le traité de Maastricht et le Traité de Constitution européenne en 2005 étaient justifiées. La vraie question aujourd’hui est de savoir à quoi doit servir l’euro, dans chaque pays et au service de quel projet européen.

 

Les dangers d’une sortie de l’euro 

Si un pays quitte l’euro, cela implique une dévaluation de sa monnaie, tandis que sa dette libellée en euros exploserait alors que les dépenses publiques et sociales devraient encore baisser.

 

Une réponse offensive : la transformation de l’euro

 

Il ne faut pas fuir la bataille pour une autre Banque centrale européenne et un autre euro.

 

Le combat d’aujourd’hui est celui pour une transformation radicale de l’Europe, avec une transformation de l’euro et pour utiliser autrement la force de la création monétaire en euros de la BCE.

 

L’affranchissement des marchés financiers, un autre crédit pour l’emploi et la création d’un Fonds européen pour le développement des services publics sont des objectifs primordiaux. Il faut aussi poser la question de la démocratie, celle du pourvoir des peuples et de leurs élus sur la création et la gestion monétaire, face aux marchés financiers.

     En outre, l’abandon de l’euro signifierait la domination sans partage du dollar, au lieu de s’appuyer sur lui pour    un    autre FMI et la création d’une monnaie commune mondiale émancipée du dollar pour le Co-développement des peuples.

 

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19 décembre 2011 1 19 /12 /décembre /2011 22:29

Catherine Mills

Lundi dernier, à l’Hôtel de Ville de Charleville-Mézières, la coordination ardennaise du Front de Gauche (composée du PCF, de la GU, du PG et de Convergences et Alternative) avait invité Catherine Mills, économiste communiste, pour débattre de la crise de la spéculation capitaliste.

Le succès de cette réunion (prés d'une centaine de participants) témoigne d'une forte volonté populaire de résistance à la domination des banques et des marchés financiers ...malgré le mutisme médiatique dans lequel est enfermé le Front de Gauche.

Après avoir rappelé les origines spéculatives de la dette, Catherine Mills a présenté les premières propositions du Front de Gauche : il ne s'agit pas de partager la dette et l'austérité, mais au contraire, de partager les richesses pour le bonheur des humains. Le Front de Gauche est justement  né de l'exigence de réinventer la Gauche en s'appuyant sur l'implication populaire : il s'agit de bouleverser  radicalement la vie politique de notre pays en rejetant le bipartisme, source de toutes les soumissions européennes aux diktats des marchés financiers.

L'HUMAIN D’ABORD, voilà le principal mot d'ordre du Front de Gauche : autrement dit, il faut refuser la domination du capital financier sur le travail qui est à la source de la "dette" que les capitalistes européens de tous les pays veulent faire payer aux peuples. L'attitude des dirigeants socialistes européens n'est pas claire : il faut en débattre, car quelle est la différence entre la politique d'un Papandreou ou d'un Zapatero avec celle d'une Merkel et d'un Sarkozy ? Pour le Front de Gauche, la légitimité de la dette est contestable, il faut un audit, car ce n'est pas aux peuples européens de payer les bonus empochés par les milliardaires de la finance mondialisée. Au contraire, il faut dénoncer le traité de Lisbonne adopté par l'UMP et certains PS ....contre la majorité du NON français lors du référendum de 2005.

La Résistance aux traités de l'Europe capitaliste passe-t-elle par la sortie de l'euro ? La question est posée, d'autant plus que l'euro est devenu le symbole de la vie chère et de la précarité dans la plupart de familles populaires.

Public C

Pour le Front de Gauche, pour secouer la dictature des marchés, il faut que le Peuple se mette en mouvement : cela commence par chaque citoyen ! Le débat de lundi s’inscrivait dans cette démarche.

 

 

J.C VanBervesseles

 

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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 22:50

Agence notation                Les nouvelles divinités que sont devenues les agences de notation vont-elles lâcher ou non notre triple A? Et chacun d’y aller de ses commentaires, accusant les inquiets ou les trop inquiets de jouer contre la France.

En réalité, ceux qui jouent contre la France, contre son économie et contre son indépendance, ce sont ceux qui ont mis la France entre les mains de la finance, en privilégiant la Bourse, les profits du CAC 40 et les dividendes, contre l’emploi et particulièrement contre l’emploi industriel, contre la croissance réelle. Et ils continuent. Peugeot-Citroën, après avoir bénéficié de l’aide publique sous forme de prêt à hauteur de 3 milliards d’euros, annonce 5000 suppressions d’emplois! C’est cette politique qui affaiblit le pays, et les plans d’austérité à répétition ne peuvent que l’affaiblir encore.

À en croire Nicolas Sarkozy, la sauvegarde à tout prix du triple A serait le moyen absolu de préserver notre modèle social. C’est un mensonge éhonté. Les agences de notation et le personnel politique du capital partagent exactement la même vision et agissent dans le même sens. Faites pour mesurer la «qualité » du capitalisme, les agences n’attendent rien d’autre que toujours plus de capitalisme. C’est le sens profond des mesures qu’entendent imposer à la Grèce, à l’Italie et à d’autres, de plus en plus nombreux, des gouvernements composés, contre toute démocratie, par des «techniciens» venant directement du monde de la finance. Les hommes des marchés sont aux commandes pour répondre aux marchés. Moins de services publics, de nouvelles privatisations, la liberté de licencier, toujours plus de précarité… Soyons clairs: la perte du triple A ne serait évidemment pas sans conséquences, mais l’avenir de la France ne dépend pas de sa note. Il dépend de la mise en œuvre ou non de changements politiques profonds.

De ce point de vue, la façon dont la campagne s’engage à gauche ne peut qu’inquiéter. Le cafouillage des marchandages de ces derniers jours entre les Verts et le PS n’est pas digne des débats ouverts que l’on peut attendre entre citoyens et acteurs du changement, militants politiques, syndicalistes, progressistes, pour, en même temps, battre Nicolas Sarkozy et créer les conditions d’une tout autre politique. L construction d’une alternative politique appelle bien autre chose que des tractations de couloirs et des distributions de sièges. D’autant que, pendant ce temps, les travaux de démolition du pouvoir continuent. Que la gauche continue comme cela et elle ira droit dans le mur en contribuant à alimenter le rejet de la politique. Il sera bien temps alors de dénoncer la droite et l’extrême droite.

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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 22:48

Oxame            On s'en doutait, mais la décision du tribunal de commerce de Sedan du 24 novembre l'a acté : Oxame, à Revin est liquidé. C'est avec un silence pesant que les 32  salariés ont attendu l'audience, au cours de laquelle a été constatée la défaillance des banques : l'absence de prêt rendait toute continuation de l'activité impossible malgré un outil de travail performant.

La responsabilité du système bancaire est entière : pas de prêt, car pas de certitude de profits immédiats et un refus qui a l'hypocrisie, d'une part de s'appuyer sur les derniers mois d'activité de l'entreprise, une activité trop faible du fait du manque de matières premières au mois de juillet faute de liquidités. Et en plus, la banque n'a pas eu le courage de notifier par écrit son refus : elle a indiqué au téléphone qu'il était inutile de monter le dossier !

Ce sont à nouveau des salariés qui trinquent, qui se retrouvent à la rue, des salariés qui en étaient à leur deuxième repreneur depuis que Idéal Standart les avaient abandonné en 2007 en les confiant à un repreneur qui a gaspillé (pour ne pas employer d'autres termes) les fonds qu'il avait. Des salariés qui ont mené, avec leur syndicat CGT une lutte très digne, non seulement pour leur emploi, mais aussi contre la désindustrialisation du département.

Michèle LEFLON

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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 22:45

Defense hopital

Le 6 octobre dernier, les militants du collectif de défense de l’hôpital public étaient  à Charleville, pour  dire  au directeur de l’ARS, leur refus du nouveau plan régional de santé

 

            Les élus communistes de Sedan et Charleville-Mézières ont décidé de réagir face au plan régional de santé (2012/2016) que vient de rendre public le Directeur de l’Agence régionale de santé. Ils ont décidé de présenter, devant leurs conseils municipaux, un projet de lettre qui, s’il est voté, lui sera adressé : 

 

« Vous venez de communiquer publiquement votre projet de plan régional de santé (PRS). Celui-ci met en application la loi Hôpital, Patients, Santé et Territoires qui entérine la mise à mort du service public hospitalier. Il traite de la même manière les structures publiques et privées, leur intimant des coopérations, sans garantie que l'argent des cotisations de la sécurité sociale n'ira pas enrichir les actionnaires des grandes chaines de cliniques privées, sans garantie que l'ensemble de nos concitoyens sera pris en charge quelque soient leurs ressources financières. Vous programmez ce PRS  alors que,  dans le même temps,  le gouvernement fait voter au parlement une loi de financement de la Sécurité Sociale qui ne permet plus de faire fonctionner correctement les services publics de santé et qui se traduit par des fermetures de services et des suppressions de postes, au détriment de la sécurité des soins pour les usagers et de la qualité du travail des médecins et des personnels.

Ce PRS consacre donc plusieurs points : une gestion de la pénurie financière des établissements hospitaliers et une gestion de la pénurie de professionnels de santé, que ce soit dans le domaine du soin ou de la prévention (médecine scolaire, médecine du travail).

Très concrètement, pour notre département, le PRS envisage une seule autorisation de médecine et une seule de chirurgie sur Charleville Mézières, alors qu'actuellement, il y a deux autorisations pour l'hôpital et la polyclinique. Par ailleurs, le PRS propose que les maternités de Charleville et  Sedan  fonctionnent  avec une équipe unique dans le cadre d’une Fédération Médicale Inter-Hospitalière (FMIH). Alors que l’on construit un pôle mère/enfant au centre hospitalier de Sedan et que la maternité de Charleville-Mézières a été rénovée, qu’elle sera l’avenir de ces établissements ?

Nous vous demandons, Monsieur le Directeur de l’ARS, de renoncer à vos projets et d'assurer, dans le PRS, un véritable service public hospitalier répondant aux besoins des populations. Nous refusons que les difficultés de certains services hospitaliers soient réglées par des mutualisations incontrôlées qui, au lieu des coopérations nécessaires, ne pourraient être que l’accumulation de difficultés qui épuisent les professionnels. Nous nous interrogeons sur l’objectif de cette démarche : veut-on leur faire porter la responsabilité de la fermeture d'une des deux maternités restantes dans les Ardennes ? Cela serait inadmissible.»

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6 décembre 2011 2 06 /12 /décembre /2011 22:42

Eolienne

Les énergies renouvelables,

un atout pour l’environnement

 

             Le PCF avait alerté sur les dangers de la conclusion d'un accord réalisé à la hâte entre le PS et Europe Ecologie sur les enjeux énergétiques en dehors de tout débat public. Nous considérions en effet qu'il n'était pas possible que l'avenir énergétique de la France se règle par des « tractations de couloirs » en échange de circonscriptions.

               Nous  proposons une autre méthode : un grand débat public national et citoyen auquel seront associés les salariés. Un débat conduit de façon sérieuse et approfondie, tranché par un référendum. La gauche pour réussir le changement et assurer le droit à l'énergie pour toutes et tous, à un prix abordable, ne peut faire l'impasse sur cette exigence démocratique. Dans ce cadre, la question du nucléaire doit être posée sans tabou.

               Nous considérons que la première des urgences est de faire face aux risques patents du réchauffement climatique et donc d'élaborer un plan de sortie des énergies carbonées. Plus généralement nous sommes favorables à un plan d'économies d'énergies. Pour ce faire nous versons au débat la proposition de  la  création   d'un   véritable  service   public  à  travers   la constitution d’un pôle public de l’énergie, émancipé des logiques financières. Celui-ci serait doter de capacités d'investissement dans la recherche,   dans   la   promotion   d’un   plan  industriel   de

développement  des énergies renouvelables et de nouvelles capacités de production, tout en maintenant un coût d’accès à l’énergie acceptable pour tous les usagers.

               Il s’agirait également de fédérer tous les acteurs de la filière énergétique, qu’ils relèvent de la recherche, de la production ou de la distribution de l’énergie, et en premier lieu EDF, GDF, du CEA et d’AREVA et ceci pour aller vers de nouvelles formes de nationalisations. En toute indépendance, l'Autorité de Sûreté Nucléaire (ASN) avec l’appui technique de l'Institut de Recherche en Sûreté Nucléaire (IRSN) doivent rester les outils indépendants de contrôle de la sûreté et de la radioprotection.

               Le dossier de l’énergie et du nucléaire mérite autre chose qu’un débat politicien à la sauvette. 

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 22:57

 

              BD Banquiers

 

                  Sous couvert de gouvernements dits « techniques » et « d’unité nationale », un coup de force caché se déroule sous nos yeux. Celui de  l’oligarchie financière qui prend directement les rênes des pays de l’Union européenne (Grèce – Italie…) les plus en difficulté. Ceux-là mêmes qui ont conduit L’Europe dans l’inextricable crise que nous connaissons dirigent aujourd’hui ces pays. Ce syndicat malfaisant d’anciens banquiers, de Goldman Sachs, à la Banque centrale européenne (BCE) et de la Commission de Bruxelles s’est associé avec  des cabinets de l’ombre que sont les agences de notation. Ces prédateurs prennent d’autorité le pouvoir pour appliquer d’une main de fer une super-austérité qui mène les pays à la ruine.

                     Voilà qu’en Grèce un ancien dirigeant de la BCE devient Premier ministre en association avec l’extrême droite fascisante  dont le souvenir est encore vivace dans ce pays. Comment comprendre que les socialistes grecs puissent participer à un tel attelage si inquiétant qui va amplifier les destructions sociales et l’abaissement national ? En Italie se profile l’ancien Commissaire européen, M. Monti, champion  de toutes les déréglementations et mises en concurrence destructrices. Ces premiers ministres exécutent en fait les ordres de ce que l’on appelle désormais la « Troïka », composée des commissaires politiques et économiques dépêchés par le Fond monétaire international, la BCE et la Commission de Bruxelles, conformément au pacte Euro plus, le pacte des rapaces.

                     Face aux dangers qui se profilent, des initiatives d’actions unitaires, larges, ouvertes à toutes les forces progressistes et syndicales, et au delà à tous les démocrates, sont indispensables. Tous ceux qui n’ont jamais souhaité que la construction européenne devienne synonyme de souffrances,  de malheurs, d’appauvrissement généralisé des travailleurs et de transfert direct du pouvoir aux mandataires des requins de la finance, doivent se rassembler. Le choix de l’austérité est inefficace. Il mène à la ruine. Il menace désormais les souverainetés populaires et nationales. Il empêche aussi les projets de solidarité européenne et les indispensables mises en commun librement choisies.

                     Oui, l’heure est au rassemblement le plus large pour que la voix des peuples unis se fasse entendre, afin que l’humain prenne le dessus. C’est valable également dans notre pays ou le pouvoir de Sarkozy est tout entier inféodé aux prédateurs de la finance. Agissons, dés maintenant sans attendre 2012, pour une autre alternative politique. 

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 22:55

Invitation

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