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12 avril 2012 4 12 /04 /avril /2012 20:52

Libre penséeNouveau succès du "banquet du vendredi saint" organisé par la Libre Pensée 08, à Charleville-Mézières : manger "gras" le vendredi dit "saint" n'est pas un défi envers l'église catholique, c'est simplement une façon de refuser les interdits religieux en matière alimentaire. La Libre Pensée est pour le strict respect de la laïcité institutionnelle instaurée par la loi de 1905 : Pas d'ingérence religieuse dans la société civile et dans les institutions républicaines. Ce repas "gras" est d'autant plus politique que la droite tente d'institutionnaliser aujourd'hui le communautarisme en lançant par exemple un débat autour de la viande hallal (qui est un sujet strictement privé).

La Libre Pensée est pour une totale liberté de penser, car elle considère les religions comme l'une des principales sources d'oppression et d'obscurantisme de l’Humanité. Anticléricale, antireligieuse, pacifiste et sociale, la Libre Pensée défend plus que jamais l’universalisme contre les communautarismes. Précurseur de l’athéisme, le curé d'Etrepigny, Jean MESLIER (1664-1729) écrivait déjà : « ...La religion est une vraie pépinière de fanatiques : c'est véritablement le théâtre où ils jouent le mieux leurs personnages ».......... il parlait en connaissance de cause de l'intérieur de l'Eglise.

Nous n'avons aucun compte à rendre aux religions, ni à un "Dieu" : nous sommes en compte avec L'Humanité !

 

Jean Charles Van Bervesseles

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12 avril 2012 4 12 /04 /avril /2012 20:40

HDV

Malgré la crise, la ville de Charleville-Mézières

a programmé 65 M€ d’investissement sur 4 ans

 

Dans la campagne électorale actuelle beaucoup de candidats font des promesses. Mais il faut noter que peu s’engagent à changer les institutions pour redonner le pouvoir aux citoyennes et citoyens. Les élus communistes avec le Front de Gauche, qui soutiennent J.L Mélenchon, militent pour une réforme en profondeur dans ce domaine et pour la création d’une 6e République.

Quand Nicolas Sarkozy pousse la réforme des collectivités territoriales « pour simplifier le mille-feuille institutionnel », nous ne sommes pas dupes, il vise deux objectifs : rediriger l’argent qui lui échappe encore vers le privé et transformer les collectivités en relais des politiques d’austérité de l’État libéral, en remplaçant la politique par de la «bonne gouvernance».

Il en est ainsi de la suppression de “la clause de compétence générale” aux communes, ou à toute autre collectivité. C’est simple : quoi qu’auront voté les électeurs, quels que soient les projets et le programme des élus locaux, ceux-ci ne pourront plus intervenir en dehors des compétences réglementaires définies par la loi. C’est la fin de la politique, par la fin de la possibilité de soutenir tel ou tel projet et de liberté dans la gestion. On pourra faire “plus” ou “moins” – et ce sera souvent moins ! -, mais on ne pourra jamais faire autre “chose” et “autrement”.

 Il s’agit là d’un dangereux recul démocratique qui transformerait les élus locaux en simple relais de l’appareil d’État. La gestion municipale sera alors totalement éloignée de la proximité avec les citoyens.  La liberté d’action des collectivités est à défendre et à étendre. Cela doit aller de pair avec une réforme qui redonne une autonomie fiscale aux collectivités, et qui organise des péréquations de ressources pour lutter contre les inégalités territoriales. La liberté d’agir a besoin de moyens financiers. 

A Charleville-Mézières, malgré un contexte morose, nous affichons des ambitions pour notre ville. Le conseil municipal à récemment débattu d’un plan pluriannuel d’investissement qui représente plus de 65 millions d’euros sur quatre années. Mais il faut être lucides et préciser que les investissements proposés sont conditionnés par un soutien de l’Etat. Dans la situation actuelle c’est plutôt vers un désengagement que nous nous orientons

 

Dans ce domaine, comme dans d’autres comme l’emploi, la défense des services publics ou le pouvoir d’achat, le résultat de l’élection présidentielle et des législatives sera primordial. Le vote Front de Gauche sera déterminant.

Sylvain DALLA ROSA

Maire-adjoint PCF de Charleville-Mézières

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6 avril 2012 5 06 /04 /avril /2012 20:12

Réunion

publique

 

Vendredi 13 avril

18 h 30

Hôtel de Ville de Mézières

 

Avec la participation de :

Gille GARNIER (PCF)

Danielle OBONO (Convergences et Alternative)

Animateurs nationaux du Front de Gauche

 

La dynamique engagée par le Front de gauche et son candidat, Jean Luc MELENCHON, va s’accentuer dans les dernières semaines de la campagne électorale. Le département des Ardennes qui souffre d’une profonde crise économique et sociale est partie prenante de cette mobilisation citoyenne.

 

Notre ambition est de conjuguer dynamique politique et dynamique sociale afin de battre la droite, bousculer la gauche et faire prévaloir une volonté de changement qui place « L’Humain d’abord ».

 

Michèle LEFLON, Sylvain DALLA ROSA et Claudette MORAINE, candidats du Front de Gauche aux législatives dans les Ardennes, participeront à cette réunion
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6 avril 2012 5 06 /04 /avril /2012 20:02

AfficheComme cette campagne électorale serait terne sans le formidable dynamisme du Front de gauche, le talent de Jean-Luc Mélenchon et ses propositions pour changer de politique. Nos concitoyens se trouveraient enserrés dans un étouffant étau. D’un côté, M. Sarkozy jouant sur les peurs et les divisions pour tenter de se sauver, et le système avec lui. De l’autre, des orientations perçues comme ne répondant pas aux attentes. Bref, on pourrait certes avoir une alternance, mais sans perspective de vivre mieux. Sans espérances. Or, l’espoir est en train de renaître. Grâce au Front de gauche, des millions de nos concitoyens, dont beaucoup étaient tentés par l’abstention, relèvent la tête. C’est cela qui a fait pousser des cris d’orfraie à Mme Parisot du MEDEF. C’est bon signe!

   Ces évolutions viennent de loin. Des processus révolutionnaires en Amérique latine aux mouvements arabes, du succès du livre de Stéphane Hessel, qui lui-même naît de la profondeur des rejets du système tels qu’ils se sont manifestés dans le mouvement social de l’automne 1995, jusqu’au «non» majoritaire au référendum de 2005 et à la puissante contestation de la contre-réforme des retraites. Voilà maintenant qu’existe la volonté de subvertir l’élection présidentielle elle-même, puisque, selon une enquête publiée en fin de semaine dernière, la moitié de nos concitoyens refuse le seul choix entre N. Sarkozy et F. Hollande. C’est une contestation forte du bipartisme. Le rejet du sarkozysme est largement majoritaire. Et c’est heureux! Mais l’antisarkozysme d’alternance ne suffit pas.

   Fort de ses expériences, notre peuple est en demande d’une gauche de changement durable, une gauche de courage pour affronter les puissances financières. On tente de l’en empêcher de différentes manières. Ainsi, voici que les bons apôtres en comptes d’apothicaires électoraux et les VRP de la politicaillerie lancent un nouveau leurre. La progression de Jean-Luc Mélenchon risquerait de faire chuter François Hollande, caquettent-ils en chœur! Quelle absurdité! Dans le sondage où le candidat du Front de gauche est placé à 15%, François Hollande est en tête. Il n’y a aucune enquête qui ait dit une seule fois qu’il y avait un risque pour lui au second tour. D’ailleurs, en 1981, François Mitterrand était derrière Valéry Giscard d’Estaing au premier tour et cela ne l’a pas empêché d’être élu, fort de l’apport des 15,35% des électeurs de Georges Marchais.

                                 C’est la campagne du Front de gauche qui renforce la gauche tout entière. C’est Jean-Luc Mélenchon qui a fait baisser des yeux Mme Le Pen, avant de la faire descendre dans les intentions de vote. Ceux qui exhortent le candidat socialiste à ne pas gauchir ses propositions pour ne pas effrayer les électeurs de M. Bayrou oublient une vérité incontournable, énoncée par François Hollande lui-même: la majorité de ces électeurs est à droite. C’est donc à gauche, pour la justice, la liberté, la fraternité, qu’il faut mobiliser dans les usines et les quartiers populaires. Non seulement de nouvelles progressions de Jean-Luc Mélenchon ne sont pas un risque pour la gauche, mais c’est une chance inouïe que la victoire soit assurée. C’est la garantie d’avoir une gauche répondant aux aspirations populaires.

La progression de Jean-Luc Mélenchon constitue une chance inouïe pour la victoire de toute la gauche.

 

Patrick Le Hyaric

Directeur de l’HUMANITE

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6 avril 2012 5 06 /04 /avril /2012 07:24

Meeting P LaurentDépart en bus des Ardennes

8 ,00 Euros

Inscription au 03 24 56 40 43

Mail : pcf08@wanadoo.fr

Départ de :

Givet – Place Mehul            16 h 30

Revin – Pont de Fumay       17 h 00

Hôtel de ville de Mézières   17 h 45

Rethel – lycée agricole         18 h 15

 

 

logo FDGAttention : Passage du bus en fonction des inscriptions

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6 avril 2012 5 06 /04 /avril /2012 07:19

SécuLe démantèlement des services publics s’accélère. Après l’école, l’hôpital, les impôts … c’est au tour de la Sécurité Sociale. Cet acquis de la libération est aujourd’hui gravement menacé. Dernière offensive en date, la volonté de fermer le centre CPAM de Givet. Au nom des élus communistes, Michèle LEFLON et Sylvain DALLA ROSA viennent de saisir le Ministre de la santé et d’apporter leur soutien aux salariés en lutte. Un rassemblement était organisé, le 29 mars par la CGT, devant le siège de la CPAM à Charleville-Mézières. Ci-dessous le courrier envoyé :

« Nous avons été saisis par des salariés de la CPAM des Ardennes du déménagement programmé du service de traitement des accidents du travail et maladies professionnelles de Givet vers Charleville Mézières.

Ce déménagement serait une nouvelle suppression d'emplois sur l’extrême nord de notre département, déjà très affecté par la désindustrialisation mais aussi par le départ du Centre d'entrainement commando. C'est une quinzaine de familles qui pourraient être amenées à quitter ce canton, contribuant à justifier d'autres fermetures de services publics ou des hommes et des femmes condamnés à plus d'une heure de transport, matin et soir, avec les conséquences familiales, financières mais aussi environnementales qui en découlent.

Ce déménagement serait justifié par une plus grande efficience du service rendu, mais cette argumentation ne tient pas avec les transformations récentes de l'assurance maladie : là où les distances ne posaient pas de difficultés, pourquoi en poseraient elles à l'heure de l'informatisation généralisée ?

Enfin, si pour l'instant l'accueil du public reste prévu à Givet, le départ de ce service va le fragiliser favorisant comme on l'a vu dans d'autres sites des fermetures temporaires avant une fermeture définitive. Cela n'est pas possible dans une zone où environ un tiers des foyers ne dispose pas d'une automobile.

Aussi, afin d’assurer la pérennité du service public de sécurité sociale sur ce territoire, nous vous demandons, Monsieur le Ministre, d'intervenir pour que le départ de ce service de la CPAM n'ait pas lieu ».

 

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6 avril 2012 5 06 /04 /avril /2012 07:14

TimbreCela fait trois ans que la Poste annonce des résultats d’exploitation qui pour deux années au moins frise le milliard d’euro (910 millions en 2009, 530 millions en 2010 malgré la crise, et 930 millions performances jamais atteintes pour l’année 2011).

Ces résultats hélas ont été obtenus en majeure partie par la diminution de la masse salariale (soit 10 000 emplois nationalement par an et ce depuis 2008).

L’arrêt  des concours depuis 2000 a contribué  à l’embauche d’emplois précaires (CDD, CDI, intérim), au point que pour 2012 plus de la moitié du personnel sera hors statuts.

Les conséquences de cette politique pour le personnel et l’usager fait que partout les charges de travail augmentent, les pressions s’intensifient, le mal être est grandissant, et hélas les drames se multiplient (de nombreux suicides sont à déplorés).

Fermeture de bureaux de poste, remplacés par des agences postales communales (dont une partie du salaire de l’employé est à la charge des communes donc payé par le contribuable) ou des points Poste chez un commerçant (bonjour dans certain cas pour la confidentialité).

Courriers non distribués, faute de moyens de remplacement, tournée des facteurs partagée en période de faible trafic (donc tournée du facteur allongée et perte de titulaire) ce n’est jamais le même facteur qui passe tous les jours.

Augmentation du trafic paquet par le développement des commandes par internet (à distribuer sans moyens supplémentaires).

La Poste vient de payer les dividendes pour l’année 2011 soit 136 000 000 euros pour les deux actionnaires (l’état et la caisse de dépôt) et 239 euros brut par agent.

Si cela ce n’est pas une politique capitaliste qu’en est-il autrement.

La CGT exige l’augmentation de salaires qui n’ont pas été revus depuis 5 ans (tient !! cinq ans cela nous ramène à l’élection d’un certain N.SARKOZY) et plutôt que de reverser de piètres dividendes et d’énormes cadeaux aux deux actionnaires cela serais plus profitable à un personnel sous payé (un postier débutant gagne le SMIC).

Le service public est le bien de tous, partout nous devons nous battre contre les fermetures des bureaux de poste en obligeant les Maires des communes à refuser la fermeture de ceux-ci (pas d’agence postale ou de points Poste).

Un facteur tous les jours, 6 jour sur 7 et un titulaire.

Ensemble usagers, fonctionnaires et contractuels, agissons pour défendre les conditions de travail à la Poste.

Et disons le clairement aujourd’hui le seul candidat qui porte ces valeurs de services publics Postaux, pour moi il n’y en a qu’un c’est  Jean-Luc MELANCHON.

Le 22 Avril NE NOUS TROMPONS PAS DE BULLETIN, votons pour le candidat d’un service postal de qualité.

Georges MOLION

Secrétaire régional CGT-PTT

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 22:11

MeetingDépart en bus des Ardennes 

 

8 ,00 Euros

Inscription au 03 24 56 40 43

Mail : pcf08@wanadoo.fr


Départ de :

Givet – Place Mehul              16 h 30

Revin – Pont de Fumay       17 h 00

Hôtel de ville de Mézières   17 h 45

Rethel – lycée agricole         18 h 15

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 22:07

Le budget du Conseil général des Ardennes a été adopté à la mi décembre et, à l’époque, le groupe socialiste avait voté contre en parlant de « sentiment d’inachevé, voire de frustration ». Conséquence logique de ce budget il fallait voter les taux de fiscalité. Or ce 26 mars, les conseillers généraux socialistes ont tous voté le taux de la Taxe Foncière. Certes, celle-ci ne bouge pas par rapport à l’année dernière mais elle va servir à alimenter un budget contre lequel le PS a voté. Comprenne qui pourra !

Seul Pierre PANDINI s’est abstenu (en toute logique) étayant son vote par la dénonciation du désengagement de l’Etat à l’égard des collectivités territoriales et par la réduction des marges de manœuvre des départements. Décidément, au conseil général des Ardennes, le PS a du mal à combattre efficacement  la droite.

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 22:04

Salariés, militant(e)s syndicaux ou non, nous sommes confrontés quotidiennement aux dégâts que produit la soumission des politiques à la loi du capitalisme: Fermetures d'entreprises, précarité et chômage massifs des jeunes, temps partiel imposé à une majorité de femmes, retraites amputées, fin de mois difficiles,  services publics dégradés...

En 2005, à la lecture de nos mandats respectifs et de nos revendications pour plus de justice sociale, nous nous étions prononcés contre le projet de traité constitutionnel européen. C’est la même démarche qui nous conduit à ne pas rester silencieux aujourd’hui. 

Les luttes sociales ont été un élément déterminant dans le rejet actuel de Sarkozy. Plus que jamais les luttes dans l'entreprise comme les luttes interprofessionnelles sont une nécessité, mais elles doivent aussi trouver une traduction politique.

Pour en finir avec Sarkozy et sa politique, Il faut une vraie politique de gauche, pas dans les discours,  mais  dans les actes :

·        Pour une Europe sociale et démocratique qui implique de faire sauter les carcans libéraux européens : traité constitutionnel, MES, traité instaurant la règle d'or.

·        Pour un partage des richesses: revalorisation des salaires avec le SMIC à 1700 euros brut, assurer le départ en retraite à 60 ans à taux plein !.

·        Pour le développement de tous les services publics, en particulier de Santé, d’Éducation et  de Logement.

·        Pour des lois qui s'opposent aux licenciements boursiers et aux délocalisations, pour un pôle bancaire public.

·        Pour la régularisation des travailleurs sans papiers afin de mettre fin à la surexploitation et à la « délocalisation sur place » voulue par le patronat.

·        Pour une réforme démocratique des institutions et le passage à la VIème république et le  respect des libertés syndicales, en particulier du droit de grève.

·        Pour des droits nouveaux, décisionnels, dans les entreprises pour les salariés et leurs institutions représentatives. La période va être marquée par des affrontements extrêmement durs contre les forces libérales et leurs supplétifs d'extrême-droite. Dans la campagne présidentielle, Madame  Le Pen, fille de l’héritier des ciments Lambert, et Sarkozy, ami des patrons, ont beau dire qu’ils sont les candidats du peuple, cela ne trompe personne, ce sont les candidats du patronat. Quant à  la position du candidat socialiste, il faut qu’il fasse un choix clair : soit rassurer la finance, soit s’engager dans une politique de gauche.

Le Front de Gauche prône une autre répartition des richesses, explique clairement que les intérêts du monde du travail et ceux des grands actionnaires sont diamétralement opposés, s’engage pour le retour à une retraite à taux plein à 60 ans, fait de la hausse des salaires une priorité, il a le courage de refuser l’austérité et de proposer une autre politique… C’est bien ce dont nous avons besoin pour œuvrer au rassemblement politique pour toutes celles et tous ceux qui résistent et qui souhaitent la rupture avec les politiques actuelles.

Signataires, nous appelons les salariés à s'investir dans cette campagne politique pour faire gagner le programme du Front de Gauche.

Nous appelons à voter et faire voter pour le candidat du Front de Gauche aux Présidentielles: Jean Luc MELENCHON ainsi que  pour les candidats Front de gauche aux législatives.

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